Mon premier récit sur le forum, j'espère qu'il vous plaira.
Sang et Honneur: (partie 1).
Du haut des remparts, je regardais un ciel doté d'un bleu éclatant.
Je profitais de mes derniers instants de paix, en tant que général de l'Empire des hommes, pensant au carnage à venir.
Je tournai mon regard vers mes frères d'armes. Tous regardaient l'horizon, vers l'ennemi, ou vérifiaient le fonctionnement de leurs arquebuses ou la qualité de leurs épées. Un homme prit les escaliers pour monter sur le mur. A voir ses décorations et son grade, je pus en déduire que c'était un capitaine, vétéran des guerres contre le Chaos. Il avait le visage dur et les cheveux brun, coupé court. De nombreuses cicatrices parcouraient son visage, témoignant de la combativité de l'homme.
"-Général, les civils ont réussi à fuir sous bonne escorte par les portes arrières de la cité. Il semble que ces maudits peaux-vertes ne les aient pas remarqués. Dit le capitaine.
-Très bien, espérons qu'ils ne rencontreront pas de problème en chemin. Je marquai une pose, puis poursuivis. C'est un beau jour pour mourir, même si je n'ai pas l'intention de finir ainsi.
-Ne vous en faites pas, mon général. Ces êtres stupides seront terrassé par la foi que nous portons envers l'Empereur et Sigmar. Nous nous battrons jusqu'à notre dernier souffle."
Je portai ma vue vers les lignes des Orques et des Gobelins. Leur nombre me paru infini. Ils finissaient de placer leurs machines de guerre, tandis que des orques entraient par dizaine dans les tours de siège. En première ligne, une silhouette se détachait de l'armée. C'était un orque, immense, vêtu d'une énorme armure. Il ne fit aucun doute sur le fait que c'était le chef, à la façon dont il donnait les ordres.
Autour de lui se trouvait l'élite, qui semblait un peu comprendre le sens du mot "discipline". Eux aussi portaient de lourdes armures avec de nombreuses armes.
Un soldat approcha, et demanda timidement:
"-Général, je ne vois aucun bélier. Comment comptent-ils passer la porte?."
Je regardai le soldat en souriant.
"-Détruire la porte ne serai d'aucune utilité. Regardez ces êtres plus haut que le mur qui pue autant que tous les porcs réunis de l'Empire. Je suis sûr que ces abominations peuvent détruire les remparts en projetant des rochers ou même en tapant dessus avec des arbres fraichement déraciné. Et je dois ajouter que..."
Tout à coup, les tambours dans l'armée des peaux vertes résonnèrent, ce qui glaça le sang des soldat impériaux, tandis que les cors réunissaient les bataillons. Le chef ennemi monta sur un rocher devant lui, et se retourna pour voir son armée, et beugla à plein poumon:
"-WAAAGH!"
Le cri de guerre fut repris par les orques et les gobelins, et les lignes ennemis se mirent à charger en hurlant.
Je me retournai, pour voir mes hommes, puis je criai:
"-Soldats de l'Empire! vous êtes les serviteurs de l'Empereur, vous êtes les fils de Sigmar! Ensemble, nous repousserons l'adversaire et l'enverrons tout droit en enfer!
Pour Sigmar! Et l'Empereur!"
Les troupes impériales hurlèrent, et dirigèrent un regard empli de haine vers l'adversaire.
Je vous informe qu'il y aura une suite, que je posterai quand je l'aurai écrite.
J'espère ne pas trop avoir fait de fautes.
Je suis ouvert à toute critique ou remarque.
Sang et Honneur: (partie 1).
Du haut des remparts, je regardais un ciel doté d'un bleu éclatant.
Je profitais de mes derniers instants de paix, en tant que général de l'Empire des hommes, pensant au carnage à venir.
Je tournai mon regard vers mes frères d'armes. Tous regardaient l'horizon, vers l'ennemi, ou vérifiaient le fonctionnement de leurs arquebuses ou la qualité de leurs épées. Un homme prit les escaliers pour monter sur le mur. A voir ses décorations et son grade, je pus en déduire que c'était un capitaine, vétéran des guerres contre le Chaos. Il avait le visage dur et les cheveux brun, coupé court. De nombreuses cicatrices parcouraient son visage, témoignant de la combativité de l'homme.
"-Général, les civils ont réussi à fuir sous bonne escorte par les portes arrières de la cité. Il semble que ces maudits peaux-vertes ne les aient pas remarqués. Dit le capitaine.
-Très bien, espérons qu'ils ne rencontreront pas de problème en chemin. Je marquai une pose, puis poursuivis. C'est un beau jour pour mourir, même si je n'ai pas l'intention de finir ainsi.
-Ne vous en faites pas, mon général. Ces êtres stupides seront terrassé par la foi que nous portons envers l'Empereur et Sigmar. Nous nous battrons jusqu'à notre dernier souffle."
Je portai ma vue vers les lignes des Orques et des Gobelins. Leur nombre me paru infini. Ils finissaient de placer leurs machines de guerre, tandis que des orques entraient par dizaine dans les tours de siège. En première ligne, une silhouette se détachait de l'armée. C'était un orque, immense, vêtu d'une énorme armure. Il ne fit aucun doute sur le fait que c'était le chef, à la façon dont il donnait les ordres.
Autour de lui se trouvait l'élite, qui semblait un peu comprendre le sens du mot "discipline". Eux aussi portaient de lourdes armures avec de nombreuses armes.
Un soldat approcha, et demanda timidement:
"-Général, je ne vois aucun bélier. Comment comptent-ils passer la porte?."
Je regardai le soldat en souriant.
"-Détruire la porte ne serai d'aucune utilité. Regardez ces êtres plus haut que le mur qui pue autant que tous les porcs réunis de l'Empire. Je suis sûr que ces abominations peuvent détruire les remparts en projetant des rochers ou même en tapant dessus avec des arbres fraichement déraciné. Et je dois ajouter que..."
Tout à coup, les tambours dans l'armée des peaux vertes résonnèrent, ce qui glaça le sang des soldat impériaux, tandis que les cors réunissaient les bataillons. Le chef ennemi monta sur un rocher devant lui, et se retourna pour voir son armée, et beugla à plein poumon:
"-WAAAGH!"
Le cri de guerre fut repris par les orques et les gobelins, et les lignes ennemis se mirent à charger en hurlant.
Je me retournai, pour voir mes hommes, puis je criai:
"-Soldats de l'Empire! vous êtes les serviteurs de l'Empereur, vous êtes les fils de Sigmar! Ensemble, nous repousserons l'adversaire et l'enverrons tout droit en enfer!
Pour Sigmar! Et l'Empereur!"
Les troupes impériales hurlèrent, et dirigèrent un regard empli de haine vers l'adversaire.
Je vous informe qu'il y aura une suite, que je posterai quand je l'aurai écrite.
J'espère ne pas trop avoir fait de fautes.
Je suis ouvert à toute critique ou remarque.